Sujet: veena. no doubt in my mind where you belong. Mer 16 Déc - 11:14
veena
who she is
sociable - pragmatique - brave - casse-cou - têtue - relativise tout ; Il est assez difficile de manquer Veena dans une foule. Sans être quelqu’un qui a besoin de tout l’attention du monde, c’est un vrai petit « social butterfly », du moins avec les blocardes. Elle n’est jamais seule et toujours près de l’action (ou du centre de l’attention)(mais jamais au centre du dispute). Le seul moment où elle acceptera de s’effacer, c’est bien lorsque ses ainées prennent la parole. Très respectueuse des gens qu’elle considère meilleure qu’elle-même, elle écoutera toujours avec attention les conseils qui lui sont prodigués. Elle essaie d’ailleurs d’être appréciée par la majorité des blocardes, que ce soit en rendant service ou en étant d’une compagnie fabuleuse. Optimiste, il est bien rare de la voir dépitée et ce malgré le fait que ses chevilles la font souffrir la majorité du temps. Brave au point d’être un véritable casse-cou, il n’est pas rare qu’elle se blesse dans des accidents stupides (généralement en dehors du labyrinthe d’ailleurs). ps : elle a bien appris les enseignements d'amalia, si bien qu'elle n'aime pas trop les mecs (ils sont louches).
Assise au bord de la fenêtre, elle pianote sur son portable. Deux heures qu’elle est là, écoutant la pluie tomber contre ses carreaux. Le temps est pourri aujourd’hui mais cela ne l’empêchera pas de profiter d’elle. C’est dimanche après-midi, ses parents ne devraient pas avoir d’objection à ce qu’elle sorte. L’entrainement d’hier s’est bien déroulé et elle a terminé ses devoirs. Le téléphone se met alors à vibrer entre ses mains et une douce sonnerie retentit dans la chambre. « Allo ? » dit-elle en décrochant, un sourire aux lèvres. C’est elle qui appelle. « Tu penses que tu pourras venir alors ? » demande la personne au bout du fil. À vrai dire, elle n’en a pas encore parlé à ses parents, elle n’ose pas vraiment leur demander. Elle cherche encore l’excuse pour sortir et aller profiter d’un après-midi avec elle, en dehors des cours. « Je vais leur demander de suite, je te tiens au courant Vee’ » répond-t-elle gaiment. Encore quelques mots et elle raccroche, enfonçant le portable dans la poche de son pantalon avant d’aller trouver son père.
Une négociation plus tard, elle est dehors, son manteau d’hiver sur le dos et son parapluie au-dessus de la tête. Elle marche rapidement les quelques centaines de mètres qui séparent leurs deux maisons avant de toquer, timidement. Elle s’attend à voir la maman de son amie lui ouvrir mais non, c’est elle, déjà. Elle n’a pas le temps de refermer son parapluie qu’elle sent déjà le contact des lèvres de son aînée contre les siennes, ses bras s’enroulant instinctivement autour de son cou. « Tu m’as terriblement manqué. »
souvenir 2:
Elle est seule, assise sur son lit, réfléchissant à vive allure. Il faut que sa grande sœur rentre, elle a besoin de lui parler. Elle a besoin de s’ouvrir à elle, comme quand elle était petite et qu’elle avait un secret à lui confier. Avant tout était plus simple, elle n’avait que ses bêtises à lui confier. Un verre cassé, une réprimande à l’école par un professeur. Mais ce à quoi elle réfléchit est plus grave, plus délicat. Elle se jette en arrière sur le lit, tombant entre ses coussins. Ses yeux rivés au plafond, elle essaie de tourner sa phrase dix fois dans sa tête mais rien ne vient, elle ne trouve pas comment aborder le sujet avec sa grande sœur.
On toque à sa porte et elle voit sa sœur entrer, joyeuse. Elle doit probablement revenir d’une sortie avec son petit-copain. Leurs parents l’adorent. Il est poli, bien élevé, catholique, comme eux en bref. « Tu voulais me parler ? » lui demande-t-elle, agitant le message de la plus jeune affiché sur son portable avant de s’allonger à ses côtés. « Ouais… » lui répond-t-elle, laissant échapper un soupir. Son aînée ne répond pas, c’est à son tour de se lancer, de raconter, de se confier. « J’ai rencontré quelqu’un. Extraordinaire, parfaite. Je pense que je l’aime. » dit-elle simplement. Elle sent sa sœur tourner son visage vers elle mais elle ne peut supporter son regard. « C’est une fille. » murmure-t-elle en fermant ses yeux très fort. Elle s’imagine déjà le visage horrifié de sa grande sœur, le jugement de son regard, son sermon prêt à franchir ses lèvres. « Je… C’est… Wow. » Peut-être pas de sermon ? La plus jeune prie le plus fort possible dans sa tête. « C’est une bonne nouvelle, je crois ? » Sa grande sœur rigole doucement, lui attrapant la main délicatement. « Je dirais rien aux parents, si c’est ça que tu attends de moi. À une condition. » continue-t-elle, caressant les cheveux de la petite, « Que tu me la présentes rapidement ! » finit-elle en rigolant. Et la plus jeune joint son rire au sien. Elle a au moins quelqu’un qui la soutient.
souvenir 3:
Assise sur le lit de l’infirmerie, elle attend que quelqu’un vienne lui expliquer ce qu’il se passe. Elle sait qu’elle est tombée et que ce n’est pas la première fois mais elle ne voit pas pourquoi cette fois-ci, on l’a forcé à aller à l’infirmerie. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat, elle est juste étourdie, c’est pas une maladie, pleins de gens sont comme elle. Du moment que cela ne lui arrive pas sur le terrain, ça devrait bien se passer. L’infirmière entre dans la salle accompagnée de sa grande sœur. Elle se sent immédiatement rassurée, elle n’est pas seule. Son aînée vient s’assoir à côté d’elle, passant une main sur ses cheveux en bataille. « Votre sœur nécessite plus d’examen. Je vous conseille de contacter l’hôpital pour prendre des rendez-vous. Ses chutes à répétition ne sont pas naturelles et je pense très sérieusement qu’elle a un problème. » commence l’infirmière, essayant d’être rassurante avec la plus jeune. Pourtant, chacun de ces mots ont l’effet d’un poignard enfoncé dans son cœur. Ses chutes ne sont pas normales, elle a un problème. Comment est-ce possible. Ses ongles griffent les jolis collants qu’elle portait sous sa jupe, faisant des trous dedans. « D’accord madame, je vais en parler à nos parents, nous allons faire ce qu’il faut. » répond alors sa grande sœur, consciente qu’elle ne peut pas laisser sa cadette répondre. En effet, la plus jeune a envie de pleurer, de s’arracher les cheveux, de tout casser. Ce sont ses rêves que l’infirmière venait de briser en quelques mots, son avenir, sa vie.
Sa grande sœur la soutient pour sortir de l’infirmerie. Elle n’a aucune envie de retourner en cours, elle a juste envie d’aller s’enrouler dans ses couvertures et pleurer. Et sa grande sœur semble la comprendre. Elle l’aide à marcher jusqu’au banc le plus proche, s’asseyant à ses côtés. « On trouvera ce que tu as, ça ne doit pas être bien grave. Ca ne t’empêchera pas de poursuivre tes rêves. » lui dit-elle. Mais elle sait, elle sait qu’elle peut tirer un trait sur sa carrière. « Je vais devoir quitter le club, dire adieu aux championnats, aux recruteurs, aux écoles. C’est papa qui va être content. » finit-elle amèrement, une larme s’échappant et glissant sur sa joue. Elle a envie de pleurer, son monde s’écroule.
souvenir 4:
Allongée dans l’herbe, ses yeux vont d’un nuage à l’autre. Tiens, celui-là ressemble vaguement à un dauphin. Celui-ci à une fleur, peut-être une tulipe. Oh et puis lui là-bas, c’est définitivement un cœur, oui, un beau petit cœur. « Regarde, il ressemble à un cœur. » dit-elle en rigolant, relevant ses yeux vers elle. Son amie n’est pas allongée comme elle non, elle lui sert en quelque sorte de coussin. Sa tête est posée sur la cuisse de son amie et cette dernière lui caresse les cheveux. Elle ne trouve pas cela étrange, c’est ce que font les meilleures amies entre elles, non ? Elle ferme les yeux, profitant de la douce brise fraîche du printemps. Le temps est magnifique, les oiseaux chantent, elle a l’impression d’être au paradis. Ses pensées s’envolent et elle finit par plonger dans un sommeil léger.
Quand elle se réveille, son amie est toujours là, toujours à caresser ses cheveux. Elle n’a pas dû dormir bien longtemps, les nuages sont toujours là, mais avec une forme différente. Elle lève les yeux vers son amie et leurs regards se croisent. Elle se surprend à vouloir embrasser son amie. Et si…. Ses yeux s’ouvrent en grand quand c’est l’autre qui descend vers elle pour déposer ses lèvres sur les siennes. Sa pensée est-elle réciproque ? « Qu’est-ce que…? » commence-t-elle mais son amie pose un doigt devant ses lèvres pour la faire taire avant de l’embrasser à nouveau.
souvenir 5 (noël):
À genoux devant son lit, les mains liées, elle prie. Elle veut que ses parents l'acceptent comme elle est, qu'ils ne la rejettent pas. Lily lui a dit de ne pas s'en faire mais elle ne peut s'empêcher d'y penser, c'est plus fort qu'elle. Et s'ils ne voulaient plus la voir ? Et s'ils ne voulaient plus jamais entendre parler d'elle ? Et s’ils la mettaient dehors ? Et s’ils ne voulaient plus d’elle dans la maison ? Elle termine sa prière avant d’enfiler sa robe. Ce soir c’est le grand soir, son soir. Durant le repas, elle leur dira, elle n’a plus d’autres choix. Elle le lui a promis. Leur relation devient trop sérieuse pour qu’elle n’en parle pas à ses parents, qu’elle ne l’avoue pas. Elle enfile donc sa robe, relève ses cheveux dans une coiffure très élégante et très féminine. Une touche de maquillage sur les yeux, un peu de rouge à lèvre, elle est fin prête. Ils doivent se rendre à l’office cette nuit, à minuit, dans ce cas, elle enfilera des collants épais et sortira son gros manteau pour ne pas attraper froid. Elle sort enfin de sa chambre et se retrouve face à sa sœur dans le couloir du premier étage. « Tu es magnifique » lui dit-elle avant de lui prendre la main pour la lui serrer. Elle a très peur de la réaction de ses parents mais elle sait que sa sœur la soutient, qu’elle sera toujours là pour elle.
Elles descendent toutes les deux les escaliers, main dans la main, et se dirige vers le salon où leurs grands-parents sont déjà en train de s’entretenir avec leurs grands-frères. Ils sont venus avec leurs femmes respectives. C’est vrai que maintenant, ils sont assez âgés. Elle ne peut s’empêcher de se demander lequel des deux aura un enfant en premier. Et puis ses pensées se perdent sur ce qu’elle compte annoncer ce soir à sa famille, au complète. Elle ne fuira pas, elle va affronter la difficulté et sans problème.
Ils passent finalement tous à table et elle aide sa mère à servir tout le monde, apportant les différents plats sur la table. Elle se trouve à côté de son grand-père paternel, celui qu’elle préfère. Elle rigole avec lui, il a tellement de blagues et de remarques à faire, elle ne se lassera jamais de lui. Et puis vient l’heure du dessert, le moment durant lequel elle avait prévu de faire son annonce. Son père sert chaque membre de la famille l’un après l’autre et finalement, ils entament la buche glacée en silence. Il faut qu’elle se décide et vite, sinon il sera déjà l’heure de prendre la route pour se rendre à l’office de minuit. Elle prend alors son verre dans la main pour taper doucement dessus avec sa cuillère. Tous les regards se tournent vers elle et elle soutient celui de sa sœur qui lui lance du courage à travers ses yeux. « Euh, j’ai quelque chose à vous annoncer. » dit-elle doucement. Elle sent la tension presque palpable dans la pièce. « Euh. J’ai une copine. » finit-elle avec une voix plus forte, avec plus de confiance en elle. Les visages restent neutres. Peut-être qu’ils n’ont pas compris en fait. « Je suis homosexuelle » précise-t-elle, doucement. Sa sœur semble fière d’elle. Son grand-père à côté d’elle ne dit pas un mot mais il n’a pas l’air très surprise. En revanche, sa mère en lâche son verre qui explose au sol. Son père n’arrive plus à fermer sa mâchoire qui semble s’être décrochée. Plus personne ne parle. Elle se rassoit et termine sa part en silence. Ce soir, elle n’en reprendre pas une nouvelle part. Les autres membres de la famille terminent le repas en silence. Elle se sent terriblement mal à l’aise, elle a l’impression d’avoir gâché ce repas de Noël.
Le repas terminé, elle aide sa sœur à débarrasser la table. Elle entend ses parents parler vivement alors qu’elles font la vaisselle. Ils se disputent, sa mère frappe du poing sur la table. Elle voit son grand-père paternel entrer dans la salle de bain et fermer la porte derrière lui. Il s’approche des deux jeunes filles avant de s’assoir sur une des chaises autour de la table. « Ça va aller, ils vont se calmer, ne t’inquiète pas. » commence-t-il doucement. « Tu étais au courant n’est-ce pas ? » demande-t-il à la plus grande. Elle acquiesce d’un signe de tête, oui, elle avait mis sa grande sœur dans le secret depuis un moment déjà. « Tu me la présenteras ? » lui dit-il, un sourire amical sur le visage. Son grand-père la soutenait donc. Elle sent son cœur se réchauffer, au moins une deuxième personne dans sa famille est avec elle.
Il est déjà l’heure de se rendre à l’office de minuit. Elle remonte chercher son gros manteau et enfiler ses collants épais. Ses parents ne lui adressent plus la parole et elle a envie de pleurer. Une fois prête, elle redescend dans le hall mais il ne reste plus que son père. Ses grands-parents sont déjà dans leurs voitures respectives, de même que ses frères sont avec leurs femmes dans les leurs. Elle voit au loin sa mère et sa sœur dans la voiture familiale, en train de parler furieusement. Elle ne doute pas une seule seconde que sa sœur est en train de prendre sa défense. « Ma chérie… » commence-t-il doucement. Elle sait qu’elle va avoir le droit à des réprimandes, il va même probablement lui demander de quitter sa copine. « Tu ne peux pas venir à l’office avec nous, maman ne veut pas. » continue-t-il doucement. Elle n’est même pas étonnée. Elle ira prier dans sa chambre, c’est pas bien grave. « Et tu ne peux pas rester ici. Maman ne veut pas de toi dans la maison. Il faut que tu partes. Prépares tes valises pendant notre absence, demain tu devras partir. » Elle se fige. Partir ? Mais pour aller où ? « Mais… » mais elle n’a pas le temps de terminer, son père ferme déjà la porte derrière lui. Dans son dos, la guirlande du sapin dans la salon clignote et elle entend les voitures quitter l’allée de la maison.
souvenir 6:
Elle glisse avec agilité sur la glace, virevoltant avec grâce. Sa crosse à la main, elle s’échauffe en faisant des tours de piste pendant que les autres filles arrivent sur la glace. Et enfin, leur entraineur donne un coup de sifflets pour les rassembler au bord du terrain. Quelques instructions plus tard, elles sont toutes en train de se battre pour ce petit palet, se cognant les unes aux autres, tombant parfois. Elle manque de se prendre un mur d’enceinte en pleine face et se rattrape juste à temps pour l’éviter. Elle retourne dans la course et pique le palet à une de ses camarades jouant l’équipe adverse. Un passage sur la droite, puis sur la gauche, elle tape dans le palet et marque le point. Toute joyeuse, elle rejoint son équipe d’entrainement pour une pause avant de reprendre.
L’entraineur siffle la fin de la séance du jour et les filles quittent la glace en riant et se poussant gentiment. Elles sont plus que prêtes pour leur prochain match le dimanche suivant. Elle s’apprête à entrer dans les vestiaires quand elle entend son nom. Elle se retourne et comprend que son entraineur veut lui adresser quelques mots. Elle retourne sur ses pas et s’assoit à ses côtés. « Il y aura des recruteurs dimanche prochain. » commence-t-il avant de poursuivre. « Je sais que tu es jeune, très jeune, mais tu as un talent fou. Et c’est quelque chose qui se travaille bien avant l’université Lois. » Elle n’en croit pas ses oreilles. Il compte la mettre en avant au prochain match, la faire jouer du début à la fin et il compte sur elle pour donner le meilleur d’elle-même. C’est impossible. « Si tu veux passer professionnelle un jour, il faut voir plus loin que le club de la ville. Il faut viser un vrai club. Et les recruteurs sont là pour ça Lois. » Si dimanche elle réussit, elle aura une chance de réaliser un de ses rêves.
Note : Vous vous souvenez de votre prénom, Lois
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Veena
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Mer 16 Déc - 11:15
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Veena
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Mer 16 Déc - 11:15
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Jeu 17 Déc - 8:39
*_* moi je veux, mais je viens en touriste.
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Veena
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Jeu 17 Déc - 22:49
oh mais avec plaisir, bambam en plus bon après veena elle trouve que les mecs sont louches alors elle va le dévisager h24, sauf qu'il est adorable jumper alors je pense que même elle ne pourrait pas le trouver louche trop longtemps. il pourra peut-être coiffer ses cheveux un jour *sors* (oui en vrai je vais réfléchir pour trouver un truc owo)
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Ven 18 Déc - 8:45
Tout le monde trouve Jumper louche à sa façon. Un type qui fait des calins aux arbres n'est pas très net dans sa tête mdr. Au premier abord, Jump' ressemble plus a un petit garçon dans un corps d'ado, même s'il lui arrive de se montrer mature et réfléchit (pas souvent, certes). Je l'imagine bien se pointer devant elle pour lui offrir des fleurs xD elle pourra se faire coiffer autant qu'elle le veut
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moon byul (mamamoo).
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Veena
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Ven 18 Déc - 23:01
mdr c'est sur, mais bon avec veena il part mal parce que c'est un mec donc il est automatiquement louche. et elle va tellement le dévisager s'il lui ramène des fleurs en mode 'c'est quoi t'as mis une bombe dedans ? ' mais ce serait marrant, on pourrait le faire en rp du coup je pense qu'il pourrait l'apprivoiser parce que bon même s'il est louche, il est adorable et éventuellement elle va devoir l'admettre et pis c'est là qu'il la coiffera (a)
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Crystal
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Sam 26 Déc - 1:32
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Mirza
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Lun 11 Jan - 20:36
Par ce que bon, il me faut des keupines tout de même ! Si t'es partante pour du positif bien entendue ♥
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Veena
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Lun 11 Jan - 22:07
crystal ; on est les best faudra discuter de notre lien, mais je pense que skype ce sera mieux après elles sont forcément amies et tout et tout !
mirza ; oh bien sur pour du positif veena elle aime tous ses compatriotes du bloc b, puis mirza c'est une ainée alors veena la respecte forcément ! après faut voir comme mirza voit une petite sarcleuse hargneuse qui fait un peu n'importe quoi et ne bosse pas trop
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Jun Hyo Seong/sung ( Secret )
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Mirza
BLOC B - COFFREUR
Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong. Mer 27 Jan - 19:59
Sorry pour le décalage, je suis du genre à être un peu dans les choux ! Hm elle la remettrait à sa place si besoin, mais rien de bien vilain. Mirza c'est un amour et faudrait vraiment que Veena soit mauvaise, alors qu'hargneuse ça la ferait surement plus rire qu'autre chose hehe
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Sujet: Re: veena. no doubt in my mind where you belong.