put your hands on my waist, do it softly. #dawnotz

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put your hands on my waist
do it softly

dawn n'a pas envie d'être là, il leur a pourtant dit. mais ça ne les a pas empêché de le traîner à cette soit disante soirée de noël avec eux. le jeune sarcleur a beau aimer son squad de tout son cœur, il aurait réellement préféré rester dans sa chambre, avec un petit fond de nourriture. pour une fois qu'il était intéressé par quelques heures de sommeil... il y pense d'ailleurs, à son lit, accoudé à la table en bois et le verre en main. dawn malgré toutes ses plaintes n'a pas eu de mal à voir le temps passer en début de soirée comme ses amis arrivent toujours à trouver de quoi amuser la galerie. or maintenant, après de bonnes heures, le plus jeune commence à fatiguer et à vaguer dans son propre monde. il ignore les discussions plus sérieuses entre falcon et eda, alors que bob tient compagnie à hope sur des sujets plus légers. lui ? il ne sait guère où se situer. un entremetteur, enregistrant des bouts des deux conversations. il porte une fois de plus son verre à ses lèvres, alors que son regard continue de vaguer vers une personne en particulier. ça l'agace, car depuis qu'il a pris de la distance, il ne peut s'empêcher de le regarder. lui qui a l'air de subir un peu le même sort que sa propre personne, celui de l'ami qui est là sans trop l'être à la fois. dawn se considère avantagé, du moins pendant l'espace d'un moment. car malgré oh combien il peut poser son regard sur lui, la distance fait que les chances qu'il le remarque sont faibles voire quasi nulles. et ça lui va clairement ainsi. c'est pourquoi le jeune sarcleur déglutit une nouvelle fois de sa boisson tranquillement sans imaginer une seconde qu'il pourrait être pris la main dans le sac. terrible erreur. alors que dawn continuait de détailler l'homme, ce sont ses yeux rivés sur lui qui l'empresse de détourner le regard. ce n'est pas la première fois que ça arrive. ces regards réciproques, ce flirt subtile. et pourtant la réaction de dawn reste la même. il s'agite, panique. il relève les yeux alors qu'il expose complètement l'étendu de son cou, terminant son verre qu'il vient ensuite reposer contre la table. plus que quelques longues minutes il l'espère avant qu'il ne puisse rentrer, rejoindre son lit, et oublier son stupide crush pour quelqu'un qu'il connait à peine.

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put your hands on my waist
do it softly

Noël. Même dans un tel environnement, les blocards trouvent le moyen de fêter. Ce n’est pas la première fois, à vrai dire. Du plus loin que je me souviens, nous avons toujours trouvé le moyen de faire un petit truc pour les fêtes, que ce soit un énorme feu de joie ou une petite fête bien simple, comme ce soir. Je porte une nouvelle fois mon verre à mes lèvres, écoutant distraitement ce que mes compagnons de beuverie peuvent dire. Depuis un moment, mon attention est attirée vers autre chose et étonnamment, ce n’est pas par mon verre presque vide. Il est à l’autre bout de la pièce, il ne m’a certainement pas remarqué. C’est pourquoi je reste si nonchalant, si peu sur mes gardes. Je retourne la tête en direction des autres blocards, esquissant un léger sourire à la blague pourrie que Pablo venait de lancer. Comme toujours, il arrivait à détendre l’atmosphère. Ce n’était pas nouveau. Je fronce légèrement les sourcils lorsque j’avale ma dernière gorgée, me retournant pour aller remplir ce dernier. Mes prunelles rencontrent toutefois celles du jeune homme que je contemplais précédemment, un nouveau sourire ornant mes lèvres. Je ressens sa panique, ce sentiment d’avoir été pris la main dans le sac. La vue de son cou ainsi exposé m’arrache un léger rire, annonçant à mes compagnons que j’allais me coucher, prétextant une expédition matinale au sein du labyrinthe. Plutôt que de directement prendre la direction de ma chambre, je me dirige plutôt vers le jeunot, glissant doucement ma main contre sa hanche, m’avançant toutefois un peu plus loin, faisant face à Falcon et Eda. Je pose une tape amicale sur l’épaule du premier, leur mentionnant la mission dans le labyrinthe, qu’il vaudrait mieux qu’ils se couchent tôt et n’abusent pas, bien que ce soit Noël. Je tourne ensuite les talons, glissant mes doigts entre ceux de Dawn, le tirant sans aucune gêne vers la chambre que nous partageons. Le hasard fait bien les choses, parfois. C’est probablement pourquoi le petit m’a tapé dans l’œil si rapidement. Dès la porte passée, je laisse mes doigts glisser de sa main à sa hanche, y raffermissant ma prise, sans pour autant être brusque. « Pourquoi ces regards, Dawn… » Je connais la réponse, du moins, je le crois. Je veux simplement l’entendre me le dire, mettre un terme à ces enfantillages. Ma tête se penche légèrement, le bout de mon nez frôlant celui de mon cadet. Pourquoi. Pourquoi m’attire-t-il autant, pourquoi n’ai-je pas fait ces gestes bien plus tôt. Bonnes questions.

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do it softly

il a attiré l'attention. il s'est fait remarquer. et pas par n'importe qui. par lui. celui qui partage sa chambre. dawn panique intérieurement car il manque cruellement d'expérience, et ne sait pas comment réagir autrement qu'ainsi. sa plus grande peur, serait qu'il finisse par se faire des idées, ou pire, qu'il répande des rumeurs. di n'est pourtant pas une mauvaise personne, il s'est occupé de lui faire visiter le bloc lorsqu'il est arrivé, mais ce n'est pas comme s'ils avaient eu réellement le temps de faire connaissance ensemble. c'est vrai qu'il lui a rapidement tapé dans l’œil, ce ne serait d'ailleurs pas le premier à avoir un crush sur lui, mais dawn s'en fiche bien, ne l'aime probablement pas du tout pour les mêmes raisons que les autres. c'est certain que l’aîné est charmant, et que cela consiste en soit un point positif, mais le sarcleur voit tellement au delà de son physique, car au final ce n'est même pas ça qui l'intéresse. c'est même ce qui le bloque le plus, tout ce qui se termine par de la nudité. pourtant dawn ne rêve pas, sait qu'il n'a aucune chance et que s'il lui a rendu ce regard, c'était par total mégarde. c'est ce que tout le monde dit. " pourquoi quelqu'un comme toi l'intéresserait en premier lieu. " rapidement, il déglutit un nouveau verre qui traînait dans le coin, sans vraiment se soucier que ce ne soit pas le sien. il sursaute légèrement lorsqu'il sent des doigts contre sa hanche, et ses prunelles semblent presque s'agrandir lorsqu'il pose son regard sur l'homme en question. tout ce qui suit est bien trop rapide pour dawn qui ne sait guère quoi penser de ce soudain intérêt. oui il comptait retourner dans sa chambre pour dormir, mais il n'avait pas imaginé qu'il serait accompagné par di', et qu'il le maintiendrait ainsi, aussi près de la porte. la pression qu'il porte à sa hanche pousse le cadet à laisser échapper un doux soupire d'aise. il en a presque honte, mais il n'aurait jamais pensé que la présence, ni les touches de l'autre, lui feraient autant de bien. malgré tout, le sarcleur évite son regard, et se mord comme à son habitude la lèvre inférieure lorsqu'il se rapproche autant, frôle son nez du bout du sien. « je... ce n'était pas volontaire. ce n'est pas ce que tu crois. » s'il pouvait, il se donnerait une claque, car il sait qu'il est lui même un piètre menteur et qu'il est simplement en train de se ridiculiser et se vendre d'avantage à l'autre. mais peut être qu'au fond c'est ce qu'il essaye de faire.

WCKD IS GOOD

souvenir de dawn

La journée est finie. Tu peux enfin rentrer chez toi et retrouver ton monde, celui dans lequel tu te sens bien, celui où tu arrives à être toi-même. Personne ne te jette le moindre regard alors que tu traverses les couloirs, le sac à dos sur l’épaule. Depuis longtemps ils ont cessés de t’aborder, d’essayer de t’inviter à des activités. Ce n’est pas que ça ne t’as jamais intéressé, mais tu ne t’es jamais senti à ta place dans ce genre d’événement, tu finissais toujours dans ton coin à regarder les autres s’amuser. Et au fil du temps, ils ont simplement cessé de remarquer ton existence. Tu installes tes écouteurs dans tes oreilles et te diriges vers la sortie. Une voiture rouge décapotable est installée devant les grilles de l’école et une foule s’y est assemblée. Après tout, c’est un petit village, les riches ne viennent pas souvent dans le coin. Tu décides d’éviter la foule, mais une main vient se saisir de ton bras et tu te retournes surpris. Sous tes yeux se trouve une magnifique femme, elle porte une robe ajustée de la même couleur que sa voiture et un blazer blanc, une paire de lunette de marque sur le nez. Tu ne la reconnais pas, mais en voyant ses lèvres bouger, tu retires tes écouteurs. « Shin Il! Ce que tu as grandit » Tu plisses les yeux, tu n’as pas la moindre idée de qui elle est. Elle semble comprendre rapidement que tu ne comprends pas. « C’est moi… ta mère. » Elle retire ses lunettes de soleil et tu reconnais la femme qu’il y avait sur la photo de mariage de tes parents. C’est la seule photo des deux qui a été sauvé, probablement par pur oubli, mais c’est rendu un de tes trésors.

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do it softly

Cette façon qu’il a d’avoir l’air si nerveux et si facile d’accès au même moment, ça me rendait dingue. Depuis le jour où j’ai vu son visage dans la boîte, depuis le jour où on a décidé qu’il devrait partager ma chambre, j’ai du mal à m’en remettre. Moi qui, d’habitude, reste calme et préfère garder mes distances, voilà une personne que je préférais savoir à mes côtés. Même lorsqu’il faisait son travail de sarcleur, je me surprenais à le couver du regard, le protégeant à distance, lui rendant ses doux sourires lorsque nos prunelles se rencontraient. Une attraction que je ne pouvais oublier, encore moins lorsque l’alcool coulait dans mes veines. Un nouveau sourire se loge sur mes lèvres lorsque je remarque que Dawn mord la sienne. Adorable. Complètement adorable. Sans me presser, je tourne la tête, l’une de mes mains quittant les hanches du jeune homme pour glisser au creux de son dos. « Et qu’est-ce que je crois, dis-moi…? » Je murmure doucement au creux de son oreille, l’amusement se faisant très certainement entendre dans ma voix. Je me demande, l’espace d’un instant, s’il se laisse faire parce que je suis plus imposant que lui ou si cette proximité est vraiment voulue. Avec les regards que nous nous étions lancés par le passé, je penchais pour la deuxième option, même si je pouvais en tout temps me tromper. Lentement, j’enfonce mon index sous le col de mon cadet, tirant le tissu le long de son épaule pour la dénuder. Mon souffle s’échoue contre sa peau, juste avant que mes lèvres y glissent, détaillant du mieux possible chaque aspect m’étant disponible. Je m’arrête seulement lorsque je frôle sa clavicule, relevant les yeux pour croiser son regard. « Je peux dormir avec toi, ce soir, si tu veux. » J’esquisse un nouveau sourire. Si cette phrase est lourde de sens, je ne m’en rends pas immédiatement compte. Je proposais sans arrières pensées. Je sais que le plus jeune a parfois du mal à s’endormir et qu’une présence quelconque pouvait parfois être réconfortante. Et puis, la proximité de Dawn m’était bien plus qu’agréable. À voir si ce sentiment était en effet partagé.

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do it softly

c'est étrange, venant de lui qui est toujours le premier à fuir une situation lorsqu'elle implique de la proximité physique. c'est étrange, qu'avec lui ce ne soit pas le cas. c'est déjà arrivé à quelques reprises que des hommes du bloc l'approchent avec une idée précise en tête, qu'une main se fasse un chemin sur une partie de son corps, qu'elle soit son cou, sa cuisse, ou même ses fesses, pourtant dawn a toujours eu le réflexe de les repousser et de leur dire de ne jamais le ré-approcher, presque dans le dégoût. et pourtant il arrive si facilement à le laisser faire, lui. n'éprouve pas même la volonté de le chasser. le jeune sarcleur n'est pas aveugle. il a remarqué son point faible pour l’aîné, ces sentiments qui grandissent d'avantage avec chaque nouveau jour. et maintenant qu'il se trouve aussi proche de lui, dawn n'a qu'une seule envie : l'embrasser. la seule chose qui l'angoisse, c'est que le coffreur ne doit pas être intéressé par la même chose. « je... je ne te regardais pas avec des idées déplacées... » sa voix est instable, influencée par les diverses touches de di' sur son corps. des frissons lui parcourent l'échine lorsque dawn sent ses doigts au creux de son dos et ses lèvres à son cou. ce n'est pas tous les jours que ces zones sont stimulées, et c'est pourquoi le cadet y réagit aussi facilement. un soupire d'aise quitte ses lèvres alors qu'il penche la tête, de manière à créer plus d'espace disponible pour l’aîné. ses mains, qui étaient jusque là fixées à ses côtés, décident de prendre refuge contre les épaules du plus grand, le tirant d'avantage vers lui. le sarcleur ne sait pas ce qui lui prend, ne comprend pas pourquoi ni comment il peut lui ouvrir la porte si facilement quand il le connait à peine. pourtant il ne peut s'en empêcher, et hoche la tête à son invitation malgré le doute qu'il a vis à vis de ses propos. oui diznots étant son voisin de chambre est au courant de ses difficultés à dormir, mais dans le contexte actuel, dawn a du mal à penser que sa proposition ne s'arrête qu'à un câlin innocent dans le lit. après tout pourquoi ne lui proposerait-il que maintenant alors qu'il n'est même pas couché ? les mains du cadet descendent lentement des épaules du plus grand jusqu'à son torse, où il les laisse reposer. ses doigts agrippent doucement le bout de tissus l'habillant alors qu'il rencontre le regard de l’aîné. « pas ici. » c'est déjà un miracle qu'il le lui autorise, alors le minimum c'est bien qu'ils puissent le faire avec un peu de manière.

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do it softly

Je comprends les gens de garder un œil sur Dawn. Il est si adorable. Il est encore jeune et relativement nouveau, du coup, c’est normal qu’on lui accorde bien plus de supervision. Et ce charme qu’il dégage. Cette beauté qu’il possède. Normal qu’il fasse autant tourner les têtes, la mienne comprise. J’ai envie de le regarder, d’apprendre à le connaître. Je veux passer du temps avec lui et ce soir est l’occasion rêvée. Je sens son corps se presser contre le mien et je ne peux m’empêcher de poser mes lèvres contre sa peau, retraçant sa jugulaire des lèvres. Mes dents s’attardent un moment au creux de son cou et je fronce les sourcils en entendant ses mots. En un instant, je me fige. Il a relevé le double sens. Quel idiot je suis. Doucement, je relève mes mains pour attraper son visage en coupe. Mon pouce glisse contre sa joue, puis frôle sa lèvre inférieure, un sourire étirant doucement mes lèvres. « Ce n’est pas ce que je voulais dire… » N’importe quel homme aurait sauté sur l’occasion, aurait passé par cette porte grande ouverte. Même moi, en temps normal, j’y serais sauté sans me poser de questions. Mais avec Dawn, je veux que ce soit différent. Je supprime l’écart qui nous séparait encore, posant tendrement mes lèvres contre les siennes, sans demander rien de plus. Je ne force pas, je ne cherche pas à avoir plus. Je repose l’une de mes mains au creux de son dos, la remontant malgré moi sous son haut, pressant son corps contre le mien. Ce serait mentir que de dire que je n’ai pas envie de lui. Mais je sais prendre mon mal en patience. « Je veux vraiment passer la nuit avec toi. Je ne ferai rien que tu n’es pas prêt à faire… » Je murmure contre ses lèvres, caressant une nouvelle fois sa joue avant d’esquisser un sourire légèrement amusé. « Si ce n’est pas ici, où voulais-tu m’emmener…? »

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son rythme cardiaque s’accélère considérablement lorsque le pouce de l’aîné trace sa joue, lorsqu'il s'approche aussi près de son visage. dawn n'a pas souvenir d'avoir déjà vécu quelque chose d'aussi intime, dans la limite du consensuel bien évidemment. ça le rend nerveux, mais étrangement, ce n'est pas dans le mauvais. on dirait d'avantage une forme d'anticipation, une montée d'adrénaline ressentie avant quelque chose de gros, et c'est effectivement la meilleure explication que le cadet pourrait donner puisque les lèvres du plus grand viennent rapidement sceller les siennes. ses yeux se ferment alors qu'il répond à son initiative, l'approfondit. un doux gémissement passe ses lèvres lorsque leurs deux corps se rencontrent enfin, et la main se glissant plus haut contre son dos lui rappelle presque l'intimité de la situation. lorsque le coffreur se retire finalement pour prononcer ces quelques mots, dawn doute, fronce légèrement les sourcils. ce n'est pas tant que le cadet trouve sa formulation déplacée, mais elle arrive néanmoins à le rendre inconfortable pendant quelques secondes. malgré tout, il hoche doucement la tête et prend un air plus sérieux et composé que précédemment. « je sais. » du moins il l'espère. il ne peut plus être sûr de rien après tout. les prochaines paroles du coffreur suffisent cependant à faire perdre cet air sérieux que le plus jeune avait usé ne serait-ce que quelques secondes auparavant. presque timidement, et parce qu'il ne fait pas confiance à ses cordes vocales, il dégage une de ses mains du corps de l’aîné pour pointer la direction du lit. son regard s'abaisse, alors que la main étant toujours contre l'épaule du plus grand remonte pour reposer contre sa nuque. dawn caresse ses cheveux du bout des doigts, et ne cesse de se demander si le coffreur est en train de le tester. après tout, c'est bien lui qui l'a traîné dans sa chambre, et presque collé au mur. ce serait presque contradictoire qu'il s'écarte et dise ne rien vouloir de plus. « tu ne veux pas de moi au final ? » il le lui demande d'une voix basse, alors qu'il redresse le regard pour rencontrer le sien. ça le surprend, mais pour une raison qu'il ignore, ça le décevrait que l'autre lui dise non. car après tout, dawn réalise que c'est la première fois depuis qu'il est ici qu'il a autant envie d'essayer, de tourner la page, de surmonter ce blocage. le plus drôle dans tout ça, c'est qu'il considère l'amour comme étant responsable de cette soudaine motivation, or quoi de plus ironique quand il sait parfaitement que c'est cet amour en premier lieu qui l'a conduit à sa perte.

» blue + i'd probably still adore you with your hands around my neck

put your hands on my waist, do it softly. #dawnotz

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